Sur la base de cet aperçu, nous expliquons comment un prix est établi pour l’impression d’une certaine pièce en métal.
Pour vous aider dans votre projet, vous pouvez contacter notre expert 3D via: . Déjà un projet terminé ? Envoyez votre dossier à et recevez votre devis personnalisé sous 24h!
Le nombre de cm³ détermine la quantité de matière première, à savoir de poudre, qui sera nécessaire lors de l’impression. Moins la pièce est volumineuse, moins de poudre métallique doit être fusionnée.
En rendant les composants creux et en réduisant la masse inutile, une économie de poids considérable et par conséquent des économies de coûts peuvent être réalisées. Une astuce pour se débarrasser de la masse inutile est d’utiliser une structure maillée (treillis). Ces structures sont particulièrement faciles à imprimer et permettent en même temps une économie de poids remarquable.
Dessinez et concevez en pensant à l’impression 3D
A terme, l’objectif doit être un bon équilibre entre robustesse d’une part et économie de poids d’autre part.
Une bonne conception pour l’impression 3D est la base pour fabriquer une pièce imprimée en 3D de manière économique. Si vous avez conçu quelque chose pas spécifiquement pour l’impression 3D, cela conduira dans la plupart des cas à une déception.
Un composant peut être placé sur la table de construction de différentes manières. Horizontalement, verticalement, à un angle de 45%,… La direction de construction détermine également la hauteur de construction.
Une pièce imprimée en 3D se compose de plusieurs couches. Plus le composant est grand et haut, plus il faut placer de couches. Cela signifie que le << recoater >> (partie de l’imprimante 3D métal qui assure l’application d’une nouvelle couche de poudre) doit appliquer plus de couches. Cela augmente le temps total d’impression.
Les surfaces brillantes et polies ne sortent comme ça d’une imprimante 3D métal. La précision d’une pièce imprimée en 3D est une précision de +/- 0,1 mm. Pour continuer à partir de là vers une surface encore plus lisse, un post-traitement est nécessaire.
Après le processus d’impression, nous avons également une pièce sur laquelle le « support » est encore présent. Ce support est la connexion nécessaire entre la plaque de construction et la pièce. Il assure une bonne conduction thermique et neutralise la tension lors de l’impression.
Après l’impression, le support doit être retiré. Dans certains cas, cela peut être fait mécaniquement, mais pour les petits détails et les surfaces difficiles à atteindre, un travail manuel est nécessaire.
Il n’y a pratiquement aucune restriction dans la disponibilité de post-traitements : différents types de sablage, procédés de culbutage, traitement laser, usinage, traitements chimiques, texturation,…
Finition standard
Lors de la commande d’une pièce imprimée en 3D, la finition standard est toujours supposée. Il s’agit d’une finition basique/moyenne qui est suffisante pour +/- 70% des cas.
Finition standard : enlèvement de support – usinage au tambour – sablage.
En principe, le volume, la direction de construction et la finition sont les facteurs les plus importants dans le calcul du prix. Logiquement, il y en a d’autres coûts qui contribuent au coût total par pièce.
Les coûts de démarrage
Lors du démarrage d’une impression 3D, l’imprimante est prête à démarrer une impression. Il peut s’agir d’une impression d’une durée totale de 30 minutes à une impression de plus de 40 heures. Il est important de toujours tout aligner correctement (modèle de construction, <<recoater>>,…) et de fournir suffisamment de matières premières dans le réservoir.
La configuration comprend également le placement et le tranchage des composants sur le modèle de construction. Cela implique de regarder le sens de construction, de placer des supports et de déterminer les paramètres d’impression.
Frais indirects : frais d’amortissement et frais énergétiques
